En suis-je capable ?
Que vont-ils penser ?
Cela ne va-t-il pas être trop difficile pour moi ?
Et si je me plantais, et si …, et si …

A partir du moment où nous sentons que cette action est une étape positive (à terme) pour nous et souhaitable vers la réalisation de notre intention , alors avançons.

Mettons au repos la machine à décortiquer, penser, analyser qui nous fait tergiverser et nous retient encore et encore.

Quel inconfort est le plus supportable : celui du trac qui disparaît aussitôt l’action commencée ou celui du regret toute une vie durant ?

Faisons.
Puis, réalisons après coup, que la peur s’est envolée en 5s.

Nous n’avons donc besoin que de 5 secondes de courage , 5s d’action au bout desquelles la peur s’évapore.

« J’ose » et je dépasse le plafond de verre.

« Finalement, ce n’était que ça … »

Une fois que nous réalisons à quel point l’imagination pessimiste avait pris la place de la réalité, nous avons plus d’espace en nous pour désamorcer le programme automatique qui s’active parfois en toile de fond.
Quel est mon #besoin derrière cette peur, ce comportement ? Comment puis-je y répondre consciemment, inconsciemment et physiologiquement ?

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